Notre-Dame (A Glimpse of Notre Dame in the Late Afternoon) 1902
Oil on Paper - approx 72x54cm, Albright-Knox Art Gallery, Buffalo, NY
Arthur RIMBAUD (1854-1891)
Chanson de la plus haute tour
Oisive jeunesse
A tout asservie,
Par délicatesse
J'ai perdu ma vie.
Ah ! Que le temps vienne
Où les coeurs s'éprennent.
Je me suis dit : laisse,
Et qu'on ne te voie :
Et sans la promesse
De plus hautes joies.
Que rien ne t'arrête,
Auguste retraite.
J'ai tant fait patience
Qu'à jamais j'oublie ;
Craintes et souffrances
Aux cieux sont parties.
Et la soif malsaine
Obscurcit mes veines.
Ainsi la prairie
A l'oubli livrée,
Grandie, et fleurie
D'encens et d'ivraies
Au bourdon farouche
De cent sales mouches.
Ah ! Mille veuvages
De la si pauvre âme
Qui n'a que l'image
De la Notre-Dame !
Est-ce que l'on prie
La Vierge Marie ?
Oisive jeunesse
A tout asservie,
Par délicatesse
J'ai perdu ma vie.
Ah ! Que le temps vienne
Où les coeurs s'éprennent !
Lindíssima a pintura, que não conhecia. Também gosto muito da Notre Dame de Paris.
ResponderEliminarObrigada!:)
ResponderEliminarA última vez que lá estive ia com um amigo versado em ciências e o olho clínico dele viu que arquitectónicamente não havia simetria.
Cheguei a Portugal e consultei na net a planta da Igreja e ele tinha razão. Julguei que era ilusão de óptica. E esta é uma pequena história da minha segunda visita a Notre Dame.